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Demain, les robots seront capables d’imiter, voire d’influencer certains comportements ; ils nous assisteront et nous remplaceront dans des activités de plus en plus complexes. Pour le meilleur… et le pire ?

Derrière les défis scientifiques, comme le développement d’une intelligence artificielle d’inspiration biologique, se cache un challenge majeur : réussir à vivre en bonne harmonie avec les robots, sans en être dépendants et sans tomber dans une forme de manipulation.

 

Le robot, miroir de l’animal

​Au sein du LIED, le physicien José Halloy prône « un biomimétisme radical » : la machine doit s’approcher le plus possible du vivant, et jamais le contraire. Avec en ligne de mire une intelligence artificielle bioinspirée… et donc durable.

Le sens mathématique de l’informatique

L’IRIF transforme programmes informatiques en démonstrations mathématiques : un moyen efficace de s’assurer qu’ils ne contiennent aucune erreur. Son expertise, reconnue internationalement, pourrait un jour permettre d’améliorer le "machine learning".

Utiliser les robots, sans se faire manipuler

Les robots sont amenés à être de plus en plus présents dans nos vies… mais comment le gérerons-nous ? Serge Tisseron, psychiatre, étudie la question depuis une vingtaine d’années déjà et propose plusieurs pistes pour un bon usage des robots.

Machines vivantes, machines de rue

A l’occasion d’un « Treize minutes » dédié au thème « Etre Machine », le directeur artistique de la compagnie La Machine évoque l'idée qu’une machine, mise en mouvement, puisse provoquer l’émotion, jusqu’à nous faire croire qu’elle est vivante.

Dossier réalisé par l'agence Médiathena

Machine affective et robot compagnon

A l’occasion d’un « Treize minutes » dédié au thème « Etre Machine », la chercheuse Laurence Devillers évoque la prise de conscience de la rupture technologique qui est en train de s’opérer avec les machines affectives.

L'humain augmenté et ses symptômes

A l’occasion d’un « Treize minutes » dédié au thème « Etre Machine », la chercheuse Christina Lidenmeyer évoque la question de l’humain augmenté et de ses symptômes.